Anne Maussion et Alain Simon Éditions du Pourquoi Pas Il était une fois « Forêt ». Vieille comme le monde, elle se raconte en battements, respirations, mouvements, rythmes, sonorités et sororité unissant micro-organismes et cimes caressant le ciel, ronchi predatorial , trilles déterminées ou soupir boisé. Il était à nouveau « Forêt » : foulée au pied, secouée, raillée, négligée,Lire la suite « Je m’appelle Forêt »
Archives de la catégorie : Forêt
Nos maisons
Elise Peyrache Saltimbanque éditions Fenêtre sur « cou…verture » et avant même d’ouvrir ce livre, je perçois l’invitation manifeste de quitter le plancher du quotidien. Les aventures sont à portée de lecture : vite vite, allons-y ! L’heure des vacances a sonné et les enfants retrouvent avec bonheur la maison de famille, celle qui rassemble étés après étés uneLire la suite « Nos maisons »
Mémoires de la forêt
Les souvenirs de Ferdinand Taupe Les carnets de Cornélius Renard L’Esprit de l’hiver Mickaël Brun-Arnaud pour les histoires Sanoe pour les illustrations Je suppose que tout ou presque a été écrit à propos des trois opus des Mémoires de la forêt, étant donné l’indéniable succès de cette série. Je m’étais dit que je passais monLire la suite « Mémoires de la forêt »
En route, Scroute !
Swann Meralli et Pizar Albin Michel Jeunesse Scroute est de retour ! Je rêvais qu’une suite nous soit offerte : ils l’ont fait ! Après Screute cherche Scroute le génial duo Swann Meralli et Pizar est de retour (pour nous jouer un drôle de tour) avec une nouvelle aventure parsemée de rebondissements et d’embûches articulatoires ! Cette fois ceLire la suite « En route, Scroute ! »
La rivière des brumes
Hélène Gloria et Odile Santi Cipango Quelque-part au nord Est de l’Inde, il y a une région escarpée où pendant quelques mois, la mousson gonfle les cours d’eau, submerge les chemins et isole les villages. C’est ici que nous rencontrons Shama, celle qui ne parle pas. Ici point de télégraphe, pas plus que de pigeonsLire la suite « La rivière des brumes »
La saison des provisions
Fleur Oury Les fourmis rouges Fauve et Jonquille ont faim, ont froid et comble d’infortune, avec la neige et ce sol gelé leur réserve de nourriture est introuvable. Le jour où les perce-neiges sont enfin là, les deux écureuils et tous leurs amis de la forêt s’éveillent et font bombance de toutes les jeunes poussesLire la suite « La saison des provisions »
Dans la forêt viens…
Lenia Major et Thanh Portal Le grand jardin Promenons-nous dans les bois… pendant que le soleil est là… Aujourd’hui j’ai plongé dans une promenade éminemment sensorielle. Grâce à ce magnifique album, j’ai réveillé mes sens dans la forêt. Mon nez a été invité à se brancher sur les odeurs du sous-bois… Mes yeux se sontLire la suite « Dans la forêt viens… »
Le bucheron, l’arbre, l’écureuil et le renard
Jean Leroy et Béatrice Rodriguez Actes Sud junior C’est l’histoire d’un bucheron qui essaye de faire son métier de bucheron. C’est l’histoire d’un bucheron qui va couper un arbre. C’est l’histoire d’un bucheron qui commence à couper un gros arbre. C’est l’histoire d’un bucheron qui ne coupera pas d’arbre aujourd’hui… Parce que cet arbre estLire la suite « Le bucheron, l’arbre, l’écureuil et le renard »
Le renard emprivoisé
Marie Tibi et Rebecca Romeo Le Grand Jardin Il y a Virgile, sa passion pour la photographie, son amour de la nature. Il y a la forêt, son énergie, ses secrets et ce renardeau pris au piège du roncier. Depuis combien de temps se débat-il ? Suffisamment pour ne pas résister quand Virgile le dégage etLire la suite « Le renard emprivoisé »
Sebastian Meschenmoser : jamais deux sans trois!
Pas de jaloux : j’ai déjà présenté deux albums de la série « écureuil » de Sebastian Meschenmoser : autant vous donner un aperçu des trois autres ! Dans la continuité de L’écureuil et la lune ( https://clarasurlalune.com/2021/03/23/lecureuil-et-la-lune/ ) et L’écureuil et le printemps ( https://clarasurlalune.com/2021/03/22/lecureuil-et-le-printemps/ ), dans ces trois opus les quiproquos se nourrissent de la tendre naïveté desLire la suite « Sebastian Meschenmoser : jamais deux sans trois! »